D’après photos. Aquarelle marouflée sur bois. Papier Fabriano, 300 g . 50 x 88 cm.
C’est grâce au livre de Marie Darrieussecq (Etre ici est une splendeur ) que j’ai découvert la vie de l’artiste allemande Paula Becker qui aimait Gauguin, Cézanne, vivre à Paris…
Elle voulait être peintre, elle est morte jeune, au début du XXe siècle, inconnue.
Son dernier mot : « Schade » _ « dommage » donne le titre du tableau.
Parmi les sept cents tableaux de sa production certains visages aux yeux largement ouverts rappellent les portraits antiques du Fayoum.